"" "X6931 Edition de 1967. Broché."
Reference : "FEE2D8A69EF1"
Librairie Theatrum Mundi
M. Didier Couchoux
9 Avenue Lazare Carnot
83300 Draguignan
France
librairie.theatrummundi@club-internet.fr
04 94 99 10 23
Conditions de vente classique de la vente par correspondance
1759 Avignon, [s.l.], 1759, 1 volume in-12 de 95x160 mm environ, xvj p. (page de titre, avertissement), 520 p., (1) f. blanc. Pleine reliure d'époque, dos à 5 nerfs portant titre doré sur tomaison de cuir bordeaux, caissons orné de liserés et fleurons dorés, coupes filetées. Coins frottés, discrètes craquelures, une déchirure marginale (sans manque) sur 2 feuillets, une ligne de chiffres manuscrits au dos de la garde de couleurs, bon état.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
A Lyon, chez Thomas Amaulry, ruë Merciere, au Mercure Galant, 1692, 1f.blanc, 4ff. (titre avec large vignette de titre, 1 carte dépliante, épître (Epître dédié à Nicolas de Prunier, signée Aymar, juge de Pierrelatte), au lecteur), 231 pages, 1f. blanc, pleine basane granitée brune, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à fleurons dorés, tranches mouchetées de rouge et brun. Rousseurs et pages brunies, petites mouillures claires sur les pages de garde, des ratures au crayon à papier sur les dernières pages, restaurations malhabiles sur les coiffes et les coins, frottements sur le cuir. Complet de sa carte de l'Afrique et des 11 planches hors-texte, la plupart dépliantes, (annoncées dans l'avis pour placer les figures).
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1728 Paris, Chaubert, 1728 (quatrième édition), lxxiv-4-436 p. et 4-522-[5] p., plein veau d'époque, environ 17x10cm, des manques de cuir sur les coiffes et sur un plat, page de garde du tome 1 trouée, bon état pour le reste et intérieurs propres malgré quelques rares rousseurs.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
[S.l.n.d.] - [ ZANOTTO, Francesco ] ; GATTERI, Giuseppe ; (TOFFOLI, Ange)
Reference : 19978
(1864)
Illustrations de Giuseppe Gatteri, plat sup. orné de l'inscription Souvenir historique de l'Ancienne République de Venise dédiée (sic) à Jules Favre, 1 vol. in-folio oblong relié plein chagrin vert, dos lisse, plats ornés, toutes tranches dorées, chassés ornées, s.l.n.d. (circa 1864), frontispice gravée, 30 ff. n. p. alternant avec 30 planches au trait gravées sur cuivre
Exceptionnel exemplaire en version française et partielle, dédicacé à Jules Favre par Ange Toffoli, ancien membre de l'éphémère République de Venise : "A Monsieur Jules Favre, membre du Corps Législatif, Avocat, etc., Hommage d'estime, et de vénération, par Ange Toffoli, ancien Ministre de la Rép. de Venise, Paris, février 1864". Il s'agit ici d'un exemplaire sans doute unique de la traduction française du début de la fameuse "Storia veneta espressa in 150 tavole" de Francesco Zanotto, illustrée par Giuseppe Gatteri : il semblerait que, vers la fin des années 1850, l'éditeur Benjamin Duprat ait annoncé, sous le titre "Histoire de Venise en 150 planches composées et dessinées par Mr Joseph Gatteri..", une traduction jamais publiée. Le présent exemplaire, partiellement et bien maladroitement traduit, paraît le rescapé de cette tentative avortée. Membre de la République de Saint Marc, crée à Venise suite à l'insurrection de la ville contre le gouvernement autrichien le 17 mars 1848, Angelo Toffoli fut Ministre sans portefeuille dans la gouvernement présidé par Daniel Manin. Tailleur de profession, cet autodidacte eut un rôle important lors des séditions des diverses casernes vénitiennes. Le témoignage d'admiration qu'il rend ici à Jules Favre s'explique largement par le soutien apporté à tous les mouvements nationaux et républicains italiens par le chef des républicains français.
La Haye, Henri Scheurleer, 1721 2 vol. in-12, [11] ff. n. ch. (titre, dédicace, préface), 531 pp. ; titre, 359 pp., [73] pp. n. ch. de table des matières et de catalogue, texte bilingue (italien et traduction française en regard), avec un portrait-frontispice par Houbraken, basane fauve granitée, dos à nerfs cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre cerise, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Charnière supérieure du vol. I entièrement fendue, coiffes rognées, dos très frottés, épidermures.
Édition originale de la première traduction française de deux des opuscules produits par le théologien servite Paolo Sarpi (1552-1623) pour défendre la Sérénissime dans le conflit qui l'opposa au pape Paul V à partir de 1605 et qui devait voir une des derniers interdits locaux (et non seulement personnels) fulminés par un Souverain Pontifice contre une collectivité (ce ne fut cependant pas le dernier, qui est attribué au très éclairé Pie X en plein XXe siècle). La République entendait en effet soumettre le clergé au contrôle de l'État dans une position régaliste avant la lettre. Ainsi, le 10 janvier 1604, le Sénat vénitien interdit-il la fondation d'hôpitaux religieux, de monastères, d'églises et autres lieux de cultes sans l'autorisation de la Seigneurie. Le 26 mars 1605, il interdit l'aliénation de biens possédés par des laïcs à des ecclésiastiques et limita les compétences des tribunaux ecclésiastiques. Le 10 décembre 1605, le pape exigea formellement l'abrogation des deux lois. Nommé théologien de la République par le doge Leonardo Donà le 28 janvier 1606, Sarpi s'employa à défendre la position de Venise par de nombreux écrits. Le pape Paul V frappa alors la république d'interdit, le 17 avril 1606, ce qui eut pour conséquence immédiate l'expulsion des Jésuites, des Capucins et des Théatins le 9 mai 1606. Quérard VIII, 452.Édition originale de la première traduction française de deux des opuscules produits par le théologien servite Paolo Sarpi (1552-1623) pour défendre la Sérénissime dans le conflit qui l'opposa au pape Paul V à partir de 1605 et qui devait voir une des derniers interdits locaux (et non seulement personnels) fulminés par un Souverain Pontifice contre une collectivité (ce ne fut cependant pas le dernier, qui est attribué au très éclairé Pie X en plein XXe siècle). La République entendait en effet soumettre le clergé au contrôle de l'État dans une position régaliste avant la lettre. Ainsi, le 10 janvier 1604, le Sénat vénitien interdit-il la fondation d'hôpitaux religieux, de monastères, d'églises et autres lieux de cultes sans l'autorisation de la Seigneurie. Le 26 mars 1605, il interdit l'aliénation de biens possédés par des laïcs à des ecclésiastiques et limita les compétences des tribunaux ecclésiastiques. Le 10 décembre 1605, le pape exigea formellement l'abrogation des deux lois. Nommé théologien de la République par le doge Leonardo Donà le 28 janvier 1606, Sarpi s'employa à défendre la position de Venise par de nombreux écrits. Le pape Paul V frappa alors la république d'interdit, le 17 avril 1606, ce qui eut pour conséquence immédiate l'expulsion des Jésuites, des Capucins et des Théatins le 9 mai 1606. Quérard VIII, 452. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17